Références

Un jeune de 25 ans, est licencié en économie et géographie, ingénierie du son, et plus récemment en programmation. Cet éclectisme en matière de formation se retrouve dans ses différentes expériences professionnelles. Lucide sur les potentiels de changement de mode de gouvernance, il est animé par le désir de changer de modèle de démocratie, non pas avec une action politique, mais plutôt via son activité professionnelle. Il a monté des projets dans la musique (en tant qu’ingénieur du son) avec la création d’une plateforme web destinée à aider les professionnels de la musique à être visibles et trouver des engagements. Il fait des sites internet et développe des applications que les utilisateurs trouvent très bien. Mais il ne parvient pas à se sentir sur la bonne voie.
Répandre du bonheur et émanciper les gens autour de lui ne trouve malheureusement pas, selon lui, d’écho en dehors du bénévolat qui ne constitue pas pour lui un modèle économique.

Le travail qu’il a entrepris avec SAYactivate a été de mettre des mots précis sur ce qui est sa raison d’être pour comprendre son moteur de fonctionnement sans partir dans des raisonnements purement intellectuels. La prise de conscience de sa dimension guerrière (prioritairement tourné vers l’action) et des éclairages sur le fonctionnement de son archétype l’ont grandement aidé à réévaluer en positif sa perception de ce qu’il estimait être des échecs jusqu’ici et à identifier le véritable combat à mener qui est de faire un seul projet mettant en application son concept de démocratie directe en ouvre avec succès, pour ensuite le développer à plus grande échelle. En ayant accepté que son aspiration allait se développer sur le long terme, il accepte désormais – et sans le dévaloriser – son talent pour développer des applications avec talent pour gagner très bien sa vie.

Alexandre Savinien, 25 ans, développeur,
accompagnement sur 6 mois

En dépit de très bon résultats scolaires, une jeune lycéenne de première en section scientifique souffrait de ne pas obtenir les résultats suffisamment excellents à son goût et se décourageait. Sa mère, consciente du perfectionnisme de sa fille m’a demandé d’aider cette dernière à prendre confiance en elle et notamment dans la prise de parole en anglais. La présence de nombreux élèves bilingues l’ intimidait depuis le premier semestre au point de perdre progressivement pied et finir par se retrouver marginalisée dans sa classe. Très responsabilisée tôt en âge du fait d’un contexte familial compliqué, elle a été soumise à une très forte pression extérieure. Ajouté à cela la pression interne liée à sa propre exigence. Avec l’application du programme « libérez votre potentiel d’apprentissage en anglais » pendant 12 sessions entre mars et septembre 2019 -dont un stage d’immersion de 3 heures – Lola a pu reprendre confiance en elle. Ceci dans la prise de parole grâce à une focalisation sur les sujets de société qui la passionnent et sur lesquels elle se sentait plus forte pour communiquer. En comprenant mieux ses buts profonds dans la vie, elle a pu non seulement s’améliorer à l’oral en anglais mais cela a eu un effet plus généralisé dans d’autres matières. Elle a décroché une bourse qui lui a permis de gagner en indépendance par rapport aux moyens très limités de sa mère et intégré une prestigieuse préparation à Normale Sup.

LOLA
en préparation Normale Sup Maths-Eco (17 ans)   12 sessions mars -septembre 2019

C’est un cas particulier d’un coaching de prise de parole en anglais qui a aussi joué comme levier au sein d’un coaching d’orientation.

Il s’agit d’un jeune parisien de 18 ans (en 2018) qui avait envie de travailler dans un contexte commercial international et se posait des questions sur le choix d’une formation de 2ème cycle entièrement dispensée en anglais.

Le séminaire d’immersion a la prise de parole en anglais a été déterminant dans sa prise de décision d’aller s’inscrire au pôle Vinci à la Défense, Avec la méthode 4×4 de SAYactivate il a pu se rendre compte de tout ce qu’il connaissait déjà de l’anglais et de comment il pouvait en permanence se renforçant en mettant en place de nouvelles pratiques de stimulation et d’entretien de son anglais.

C’est un bel exemple qui montre qu’une permission que la personne se donne à elle-même en se testant et se dotant d’outils d’autoévaluation est la meilleure manière de dépasser une barrière et de prendre la bonne direction au bon moment. Il est des opportunités qu’il faut savoir ne pas rater.

Alexandre Samet est en classe #erasmus avec des étudiants internationaux. Il suit des cours 100% en anglais ce qui lui apporte une richesse culturelle et une ouverture sur le monde.

Alexandre Samet
22 ans, EMLV promo 2024 en classe #erasmus avec des étudiants internationaux.

Un jeune quadra travaillant comme cadre spécialisé notamment en recherche de fonds dans une ONG humanitaire de niveau mondial m’a consulté pour que je le coache au moment où il postulait un poste à forte responsabilité de direction pays en me disant que j’étais le seul qui pourrait comprendre la confusion dans laquelle il se trouvait à ce moment-là. Il m’a déballé une quantité impressionnante de détails sur la complexité des rapports de pouvoir et des fonctionnements de son organisation. Nous avons travaillé sur son pourquoi, son comment et son quoi pour mettre à jour son noyau de singularité, c’est-à-dire sa raison d’être fondamentale. Et avec l’outil de la ligne du temps, nous avons séquencé tout ce qu’il lui restait à faire d’ici à son entretien majeur. Cela a été l’axe de la déconstruction de la complexité de la situation telle qui l’envisageait. Il a réussi à « spatialiser » ses problèmes, leur donner une place dans le temps et l’espace. En isolant ces composantes il a pu se rendre compte des ressources déjà présentes en lui-même qu’il pouvait mobiliser pour traiter chacune des craintes anticipées qu’il pouvait avoir par rapport au nouveau poste brigué. Le premier entretien n’a rien donné mais aussitôt il a retrouvé une opportunité et a cette fois obtenu un poste important de directeur pays quelques mois plus tard ce qui constituait un très sérieux saut qualitatif et en responsabilités accrues. Il exerce aujourd’hui avec grand bonheur et a coché toutes les cases de ce qu’il désirait pour sa vie professionnelle et personnelle.

Une avocate internationale du droit du travail interrompt sa carrière et fait une coupure de plusieurs années pour deux raisons : un désaccord avec l’entreprise dans laquelle elle travaille sur les méthodes de management et le manque d’éthique et des bouleversements dans sa vie de famille. Reprise par l’envie de se remettre à travailler dans un collectif professionnel, elle décide de rejoindre un cabinet international renommé et très actif et en phase avec ses valeurs. Elle sait que le niveau d’exigence va être élevé, mais elle envisage ce nouveau challenge avec un fort désir d’intégration.

Le coaching de performance qu’elle a choisi de vivre pendant 3 mois est notamment passé par un travail de recentrage sur son axe vital (sa singularité) et une modélisation de sa façon de traiter différentes situations tirées de son vécu pour l’aider à mobiliser ses forces et apprécier clairement son état de préparation pour ce nouveau défi majeur. Le fait de comprendre ce qui constitue très précisément le pourquoi de ses actions, la façon dont elle s’y prend et l’impact qu’elle a obtenu jusqu’ici dans sa vie a eu un impact fort dans la compréhension fine de son fonctionnement.

La reprise d’un poste à haut niveau d’expertise et ses implications a pu alors être mise en perspective de façon très cohérente et parfaitement atteignable et justifiée par rapport à ce qui constitue sa mission de vie. Elle a pu aborder son nouveau travail avec une confiance et une conscience accrue de ses forces fondamentales.

En 2017, après 25 ans en finance de marché, un cadre supérieur dans la finance a été licencié. Sa formation de polytechnicien tournée vers les sciences « dures » ne le prédisposait pas particulièrement à considérer le coaching comme essentiel. Mais l’absence de réponse à ses diverses propositions de services à son réseau ne provoquait aucune réaction. Cette situation perdurant il a décidé de faire appel à SAYactivate pour analyser la situation et voir comment il faudrait éventuellement reconsidérer son approche de transition professionnelle de façon disruptive. Aujourd’hui il a créé plusieurs entreprises de services financier centrées autour de sa capacité à détecter les points critiques de systèmes très complexes pour proposer de nouvelles solutions techniques performantes.

Emmanuel Goudouneix
(polytechnique promotion 1983), 58 ans. Spécialiste systèmes financiers.   

Un cadre dans le monde de l’informatique, rencontré dans un after work, qui se retrouve au chômage depuis quelques mois me confie qu’il souffre de ne plus pouvoir parler de son travail quand on lui pose la question banale : « et tu fais quoi ? » Je lui demande de m’en dire plus et je découvre qu’il est passionné de recherches en histoire et qu’il travaille sur des sujets pointus. Il s’avère qu’il est aussi captivant lorsqu’il en parle » … Je lui propose alors de réaliser qu’il peut totalement changer la perception « compatissante » ou un peu « apitoyée » de l’interlocuteur curieux en de l’envie et de l’admiration en disant « j’ai pris une année sabbatique pour travailler à mes recherches ».

Ce cadre a retrouvé un super job en moins d’un an et depuis des années ne manque pas de me recommander en disant de moi ce gars m’a dit la phrase la plus géniale qui soit quand je me sentais un peu une m… et qui m’a totalement permis de changer de vision de ma propre valeur et de repartir à l’attaque…morale de l’histoire : la bonne remarque, au bon moment à la bonne personne qui était prête à l’entendre.

En 2021 un cadre supérieur spécialisé dans le management de transition se trouve dans une impasse professionnelle liée à un contexte défavorable en matière de gouvernance de l’entreprise principale où il intervient qui le met dans une situation intenable. Malgré tous ses efforts pour proposer des solutions de sortie de crise l’actionnariat refuse ses propositions et condamne l’entreprise au dépôt de bilan. Le moral sérieusement entamé et le surmenage ont amené cette personne à me consulter. Nous avons travaillé sur près d’un an avec 3 mois intensifs et des points mensuels sur un coaching de performance et la confiance et le moral sont revenus. Le témoignage ci-contre en atteste.

MAJ,
59 ans, manager de transition mission de 3 mois et suivi ponctuel.

En 2018 un ingénieur du son trentenaire compositeur et réalisateur de vidéos professionnelles m’a consulté pour l’aider à avancer dans son travail car il avait l’impression de ne pas évoluer assez vite. Après des premières séances déstabilisantes pendant lesquelles il a eu « du mal à définir ses problématiques ». Nous avons pu l’aider à formuler sa problématique et aller au-delà de sa demande Cela lui a permis de réussir à évoluer dans son travail en rencontrant une clientèle qui correspondait mieux à son niveau d’exigence. Le travail sur son talent profond l’a aidé à révéler sa valeur. Incidemment cela l’a aussi aidé à organiser son temps de travail et à prendre conscience du peu de temps qu’il accordait à lui-même et sa famille alors qu’il en donnait énormément et bénévolement à beaucoup de personnes sans en tirer une réelle satisfaction. Son précieux don n’allait pas s’investir au bon endroit ! Grâce à un renversement des priorités ce coaching de performance lui a permis en un an – à raison d’une vingtaine de séances – à renforcer ses points forts et sortir de l’impression de marasme et de sur-place très frustrante dont il avait le sentiment de ne jamais pouvoir s’extraire. Il m’a chaleureusement remercié récemment en me donnant des exemples précis de son succès qu’il attribuait directement à notre travail. Un moment de bonheur toujours gratifiant pour un coach.

Pierre Dufour
compositeur, 35 ans, réalisateur de vidéos professionnelles

Un jeune trentenaire qui avait quitté un travail très rémunérateur dans la finance a décidé de tout quitter pour aller sur le terrain aider des réfugiés dans un pays en guerre dans le cadre d’un organisme humanitaire.

Parti plein d’ardeur et convaincu d’avoir trouvé réponse à sa quête de sens, le jeune homme en question a été totalement dépassé par les événements et est tombé dans une spirale de burnout qui l’a obligé à se rapatrier en France.

Il m’a été envoyé par un membre de sa famille qui connaissait mon travail sur la singularité et nous avons fait quelques séances réparties sur 2 mois qui lui ont permis de réaliser ce qui était véritablement à l’œuvre dans sa vie profonde et comment il était littéralement structuré en tant que révélateur de valeur et de potentiel. L’ensemble des éléments sur l’archétype qui prédominait dans sa vie l’a profondément bouleversé et a eu l’effet d’une révélation. Du coup, ce qui lui était apparu comme une déchirure entre une aptitude à gagner de l’argent dans la finance réputée immorale et l’incapacité à supporter la dureté du travail dans une ONG alors qu’il aspirait profondément à donner généreusement de sa personne a pris un sens totalement nouveau. Il a compris comment il pouvait se raconter une autre histoire sur lui loin des lectures simplistes et s’est rapidement rééquilibré en acceptant ses facettes contrastées, sans jugement.

Il arrive ainsi que le travail avec certaines personnes puisse déclencher exceptionnellement une fulgurance et une révélation qui redonne du sens à ce qui n’était auparavant qu’un schéma embrouillé ou un tissu de contradictions. Du coup il est très rapide, un peu comme certaines expériences de traitement de phobies immédiates avec la PNL. Nous avons droit au «et » dans la vie car la bonne nouvelle est que nous ne devons pas nécessairement être ceci ou cela pour être heureux et trouver comment réussir dans notre vie.

Omar,
commercial, 32 ans (2 mois de coaching)

Une coach participante à un stage formation sur la singularité est venue me consulter par la suite pour que je lui donne des éclaircissements sur son noyau archétypal. Nous y avons retravaillé et elle a découvert qu’elle se rattachait à une autre catégorie que celle diagnostiquée initialement pendant le stage. Cette révélation a eu un impact fort et nous avons travaillé très en profondeur pendant plusieurs mois pour lui permettre de renforcer son approche intuitive de ce qu’elle appelle la raison d’être dynamique. Elle a pu alors comprendre en finesse ce qui était de l’ordre du travail sur l’identité (variable) et de l’ordre de la singularité ou la raison d’être fondamentale qui était un invariant. Ce travail lui a permis de réinventer sa pratique en renforçant sa conscience de toutes ses qualités intuitives. En autres bénéfices, cet accompagnement lui a permis d’acquérir un nouvel outil de coaching pour travailler la dimension « projection dans le futur » des systèmes organisationnels qu’elle analyse chez ses clients individuels et entreprises pour leur proposer des nouveaux modèles prédictifs stratégiques puissants.

Arlène Kardion.
Coach professionnel, 57 ans, (coaching en 5 séances)

En pleine réussite et très heureuse dans un poste conquis de haute lutte, une mère de famille a dû mettre fin à son activité de contrôle de gestion dans une multinationale suite un déménagement imposé par le nouveau travail de son mari qui coïncidait aussi avec la naissance de son premier enfant. Elle s’est retrouvée à se consacrer exclusivement à sa famille.

15 ans plus tard elle veut reprendre une vie professionnelle mais envisage le marché du travail comme hostile et cela lui procure une certaine anxiété. Pour autant, elle ne se voit pas du tout reprendre ses anciennes fonctions et se demande comment aborder ce défi d’une réinsertion dans le monde du travail : quelle entreprise va-t-elle bien vouloir d’elle ?

Lorsque nous avons commencé le coaching de réinvention – car il fallait remettre sa vie en perspective et être vraiment disruptifs dans l’approche – l’insécurité et le doute sur sa propre valeur s’étaient bien installées depuis des années. Il a fallu tout un temps de tâtonnement pour arriver à isoler les lignes de force capables de la soutenir pour se relancer.  Nous avons commencé par mettre en relief tout ce qu’elle avait pu déployer comme savoir-faire et savoir-être pour gérer sa famille nombreuse à la façon d’une entreprise. Et à partir de choses simples elle a progressivement reconstitué un miroir d’elle-même beaucoup plus attractif pendant les 8 mois qu’ont duré son coaching.

Un élément d’ancrage positif mis à jour dans son coaching a été son activité théâtrale qui était l’occasion pour elle de s’entendre dire qu’elle était « formidable ». Cet apparent détail s’est révélé par la suite comme un très fort levier et marqueur d’évolution positive. Trois ans plus tard, elle a fortement progressé sur ce point en parallèle avec sa nouvelle activité professionnelle.

Grâce aux activités immobilières de son mari, elle s’est progressivement consacrée à la création de suites locatives de courte durée qui ont permis de mobiliser un très grand nombre de ses qualités de fond et de s’y trouver « formidable » aussi ! En toile de fond le travail sur son noyau de singularité fait pendant son coaching lui a permis de revoir tout ce qu’elle faisait sous un angle beaucoup plus stratégique. En observant sa singularité à l’œuvre et sans se laisser entraîner par un flot d’émotions et de jugements qui la retenaient, elle a pu se libérer de freins importants. Et c’est la réassurance permanente d’être en connexion avec son essence fondamentale qui lui donne au quotidien la confiance pour déployer à son propre compte toutes ses capacités. Désormais elle a son moteur en route vers un cap qu’elle ne lâchera pas. Et maintenant, dans les groupes d’entrepreneurs qu’elle fréquente, elle ne se sent plus une étrangère qui redoute la question « que fais-tu dans la vie ? » …

Mère de famille en reconversion professionnelle,
50 ans, gérante de suites (6 mois de coaching) 

Une cliente coach que j’ai eue en coaching de prise de parole en anglais s’est rendu compte que de progresser en anglais était une tâche trop difficile pour elle, car nous avons vite mis à jour des pans de son enfance qui ont montré que cette envie de progresser en anglais était bloquée par des traumatismes précoces dont l’impact dépassait largement la question de son niveau d’anglais (phénomène rencontré fréquemment lors des coaching d’anglais de nombreux clients).

Notre travail a pris un tour totalement nouveau lorsque nous avons parlé de singularité et de travail sur le langage singulier, révélateur de notre profonde unicité. Comme elle était en train de faire le marketing d’un livre qu’elle venait d’écrire, l’idée a été de travailler sur son pitch pour le rendre le plus pointu et percutant possible grâce au travail sur son noyau de singularité archétypal. Il en est ressorti une très puissante prise de conscience sur son don caché.

En mettant en mots son « programme interne » (comment se structure son pourquoi, son comment et ce que ça produit) elle a réalisé qu’elle avait tourné le dos à cette part essentielle d’elle-même. Depuis qu’elle a accepté ce don qui n’est pas toujours facile, ni à comprendre ni à porter…on l’appellera « clairvoyance » les clients ont commencé à affluer et son chemin d’avenir s’est subitement illuminé.

Depuis ce travail qui a duré 3 mois, nous avons maintenu régulièrement de puissants échanges et je me suis retrouvé dans un rôle de superviseur tandis que ma cliente m’apporte des éclairages puissants sur des questions personnelles qui font que nous vivons une formidable expérience de co-construction et d’enrichissement mutuel.

Myriam Delval,
60 ans, coach en développement personnel

En dépit de très bon résultats scolaires, une jeune lycéenne de première en section scientifique souffrait de ne pas obtenir les résultats suffisamment excellents à son goût et se décourageait. Sa mère, consciente du perfectionnisme de sa fille m’a demandé d’aider cette dernière à prendre confiance en elle et notamment dans la prise de parole en anglais. La présence de nombreux élèves bilingues l’intimidait depuis le premier semestre au point de perdre progressivement pied et finir par se retrouver marginalisée dans sa classe. Très responsabilisée tôt en âge du fait d’un contexte familial compliqué, elle a été soumise à une très forte pression extérieure. Ajouté à cela la pression interne liée à sa propre exigence. Avec l’application du programme « libérez votre potentiel d’apprentissage en anglais » pendant 12 sessions entre mars et septembre 2019 -dont un stage d’immersion de 3 heures – Lola a pu reprendre confiance en elle. Ceci dans la prise de parole grâce à une focalisation sur les sujets de société qui la passionnent et sur lesquels elle se sentait plus forte pour communiquer. En comprenant mieux ses buts profonds dans la vie, elle a pu non seulement s’améliorer à l’oral en anglais mais cela a eu un effet plus généralisé dans d’autres matières. Elle a décroché une bourse qui lui a permis de gagner en indépendance par rapport aux moyens très limités de sa mère et intégré une prestigieuse préparation à Normale Sup.

LOLA
En préparation Normale Sup Maths-Eco (17 ans) 12 sessions septembre 2020

Ce professionnel du conseil et du coaching m’a demandé de l’aider à se « dérouiller » en anglais en avril 2015. Il avait décidé à cette époque de donner un nouveau tour à sa carrière en s’ouvrant à de nouveaux horizons. L’usage de l’anglais devenait alors nécessaire. L’objectif court terme était de savoir s’il était jouable pour lui de participer à une session de Tony Robbins entièrement en anglais à Miami sans qu’il y ait de traducteurs 6 mois plus tard. Nous avons obtenu un excellent résultat avec un programme sur mesure combinant des sessions d’immersion et un travail minutieux d’écoute de la voix de Tony Robbins pendant des success calls de 20 minutes tous les 2 jours pendant 3 semaines, puis nous avons espacé jusqu’à son départ. Il est allé à Miami et a très bien pu se débrouiller alors qu’il partait d’assez loin en matière de compréhension auditive et fluidité d’expression. En allant puiser dans son intentionnalité (identifiée dans son noyau de singularité) il a pu mobiliser chaque parcelle de son expérience d’apprentissage précoce de l’anglais pour atteindre son objectif.  Depuis ce test réussi il a repris plusieurs modules d’entretien et de perfectionnement et a mis en route toute une stratégie pour renforcer constamment sa pratique…en se focalisant sur le langage spécialisé de son domaine tout cela lui a bien réussi puisqu’il enseigne aujourd’hui en anglais et a même fait une thèse ! … Je suis très admiratif et content d’avoir modestement contribué à renforcer l’anglais comme un levier de développement pour ce client.

Éric Gautier
Docteur en Management et chercheur à Paris 2